In their defence, it seems that De Lie was on the list until recently.

Også sidste års vinder Arnaud De Lie er på den foreløbige startliste til PostNord Danmark Rundt. Han vender tilbage med Lotto-mandskabet for at forsvare sin titel sammen med blandt andre danske Jonas Gregaard og et af cykelsportens store talenter 22-årige Alec Segaert.

I don't exactly know when this official article by the organiser was published, but the same bits of information made their way to several new outlets 4 days ago.

Compared to Poland where everyone rode for a sprint/punch finish no matter what course the organiser proposed, it makes a big difference when there is at least one audacious half-mutant on the race.

Thank you, Mads🇩🇰. And congratulations to all those (80% Danish!) which managed to follow, from the bunch or the breakaway. Almost all Conti teams riders...

Bad luck for the Decathlon (Conti development team) Norwegian guy Dahl🇳🇴 who lost the wheels a few miles from the goal and was caught up by the bunch. Haugsted🇩🇰 (Coloquick) always looked like he was going to be dropped any minute in the final part, but he managed to finish 3^rd^.

The drawback of the 40 seconds gap over the bunch created by this attack on the first stage, is that stages #4 and #5 will probably be ridden very defensively.

I don't understand how, on the classification published on PCS at the moment, many gaps of 1 single second are reported. That's not completely impossible, but almost impossible within a group (because the last guy before the split passes significantly later than the first one which is the subgroup reference time). So it's basically impossible to have 10 guys counted at time 0, 10 guys at time +1s, 10 guys at time +2s like it is shown now. Perhaps will it be modified.

There was also the Tour of Guadeloupe (French island in West Indies), a farcical 2.2.

In this video https://x.com/LeGruppetto/status/1952995645058388165 , the 2^nd^ in GC has a puncture and stops. Then he realises he's fucked, because his car has gone ahead of the peloton. A teammate rides backwards, which is completely forbidden, to give him his wheel. But they can't remove the wheels because of the bloody disc brakes wheels without fast locks, and they haven't got a key either. So the leader takes the bike of his teammate and goes. But there's something he doesn't like, or perhaps he was radioed that someone came with a key,and now he's riding backwards too! That's even better than Vingegaard and Visma's mess. Epilogue not on video: he magically caught up with the peloton. The magic (the help of a car) owed him a 1 minute penalty.

In this one, https://x.com/CyclingLegend_/status/1952290921707655271 , one rider is pulled by his car. Very classical. A couple of riders received a 5 minutes penalty! (I didn't know it was possible to give such large time penalties.)

More original, https://la1ere.franceinfo.fr/guadeloupe/tour-cycliste-de-guadeloupe-2025-c-est-tres-grave-2-coureurs-exclus-pour-avoir-rejoint-le-peloton-sans-faire-tout-le-parcours-de-la-2e-etape-sous-les-yeux-du-commissaire-1610574.html : 2 Dutch riders (Niels Tenniglo and Huub Van Kapel) have taken a shortcut (or most likely stopped in a place where the course will come back after making a 30 km loop), and are hiding behind a car on the roadside, waiting for the peloton to arrive and attempt to blend in. They have been disqualified.

One day, ahead of the race, 4 publicity cars crashed into each other. It created a massive traffic jam, and when the riders came, there were cars parked on both side of the motorway, as not all of the traffic could have been evacuated yet.

Étape n°2

Gaudu (🇫🇷 FDJ) lâché dès le milieu de la côte de Giron (6%) à 50 km de l'arrivée, alors qu'il reste 40 ou 50 types dans le peloton dont pas mal de coureurs d'équipes du bas des Contis (comme Nice)...

Tous les FDJ ont sauté dans l'ascension suivante (Col de Menthières), sous l'impulsion de Visma et Décathlon. Derrière l'attaque de Cian Bidule🇧🇪 (Visma) et Prodhomme (🇫🇷 Décathlon), il n'y a dans le groupe de chasse que des Visma (x2), Décathlon, Cofidis (x3 !), Q36.5 (rescapé de l'échappée) et Arkéa.

Les deux se sont mieux entendus qu'hier, mais ont tout de même perdu 1 minute en jouant aux cons dans la dernière partie montante en escaliers qui menait à l'arrivée. Il leur reste 50 secondes sur la ligne sur un jeune Cofidis (Jamie Meehan 🇮🇪) qui a anticipé le sprint du groupe de poursuivants.

Chez FDJ, le premier (Germani 🇮🇹) finit au delà de la 20^e^ place à plus de 4 minutes, Rolland 🇫🇷 à 8 minutes, et Gaudu 🇫🇷 ne semble toujours pas être arrivé au bout d'un quart d'heure. C'est la seule équipe WT qui n'a personne dans les 2 premiers groupes, alors que c'est celle qui a le programme le plus léger en ce moment. Les 3 Pro Teams (Total, Q36.5, Unibet) et 5 des 6 Contis (Roubaix, Nantes, St-Michel, Tudor et Bike Aid) ont quelqu'un dans le deuxième ou le troisième groupe, pas la WT FDJ. Seuls les gars de Nice (la plus faible des Contis française, 175^e^ équipe mondiale) ont complètement explosé dans la dernière ascension.

Je vois que le Bike Aid (Mattheis 🇩🇪) qui était sorti hier dans le final est parvenu à terminer dans le troisième groupe qui finit à 2 minutes du vainqueur. Belle forme pour ce coureur pas tout jeune qui n'a jamais dépassé le niveau Conti.

He didn't seem cooked to me at any point, therefore the second option should be the right one.

Imagine losing a Grand Tour you lead with some margin: not because you have not the legs and are overpowered in the long run or on multiple short attacks or on an unfavourable terrain; not because you have a bad day on the wrong day; not because there are natural or provoked circumstances that put you in a catastrophic situation; but just because you and your team are a bunch of wallies. 🤣

Pogatchar seemed unsure whether it was a good idea to keep going solo/duo with Alaphilippe after they attacked. On the other hand, in the past, he already looked several times like he was hesitating, but then had no problem going stronger and stronger.

In the last part of the race before he was caught up, Pogatchar was grimacing, somewhat like on Paris–Roubaix.

The most incredible thing is that today we saw Skjelmose relay other riders. It doesn't happen every year 😆

He was even so nervous in and after the final Cauberg (anxious that the group behind would catch up) that he took a few mini-relays.

As on Friday, Evenepoel's opponents played it well, refusing to relay in the last 2 (3 ?) kilometres. It didn't deter Evenepoel who believes he has become great at sprinting in the last couple of years. 😃

As far as the sprint is concerned, in my opinion, Pogatchar shifted from Evenepoel's wheel to take him over way too early. He could have stayed behind his wheel quite longer while building up speed more easily.

2e étape (samedi) : Forcalquier (04) – Manosque (04) C’est relativement vallonné mais la seule ascension significative est à 28 km de l’arrivée, ce qui rend la chose contrôlable par les sprinteurs.

Sauf quand c'est un sprinteur vexé qui attaque dans le col et gagne en échappé 🤣 La course (au moins les derniers 50 km retransmis) a été courue comme une classique, c'était beau à voir 👍 ; et pas du tout ce que j'avais envisagé 🤦

Arkéa mène un train déjà correct dans l'ascension, puis les Lidl-Trek prennent le relai et ça va encore plus vite : les échappés (matinaux ?) sont repris, et le peloton commence à s'étirer voire s'éparpiller. Attaque de Pedersen 🇩🇰, suivie seulement par un D4 (De Pestel) et un EF (Cepeda). Pedersen roule 10 km en tirant les 2 autres, quand il demande enfin un relai, ils refusent et s'assoient donc, à cause des consignes d'équipe, sur la possibilité de larguer tout le monde au classement général (et de s'assurer ainsi au moins le podium final) ainsi que celle, plus petite face à Pedersen mais sait-on-jamais, de gagner l'étape face à seulement 2 concurrents dont 1 roule-toujours.

Pedersen pousse encore quelques kilomètres jusqu'au sprint bonif, que le D4 ne parvient pas à lui disputer, puis réintègre le petit groupe de 6 ou 7 poursuivants qui s'était rapproché pour cause de non-coopération des 3 à l'avant. Quelques attaques depuis ce groupe, sans résultat, puis la bonne : Mohoritch 🇸🇮, dans la roue duquel saute Pedersen 🇩🇰. Nos 2 couillons de D4 et EF, fidèle à leur stratégie d'échec, ne participent pas à la poursuite et il y a dans le groupe 1 coéquipier de chaque élément du duo à l'avant, donc forcément ça ne roule pas bien. Mohoritch et Pedersen s'entendent très bien et creusent l'écart, alors que les poursuivants sont rattrapés par un groupe (on peut appeler ça le peloton mais il y a quoi 20 coureurs ? 30 ?). L'écart monte vers les 45 secondes. C'est Cepeda qui doit désormais rouler en tête du groupe pour son sprinteur 🤭

Je pensais que Mohoritch et Pedersen allaient rouler jusqu'au bout quitte à se répartir la victoire d'étape (🇸🇮) et le général (🇩🇰), mais les deux commencent à se regarder alors qu'il reste genre 2 km et l'écart fond. Mohoritch refuse de passer et Pedersen fait tout le final en tête à allure moyenne. Mohoritch bien que dans la roue de Pedersen, ne parvient pas à suivre quand il lance le sprint.

Au final, le meilleur D4 finit 4^e^ et le meilleur EF 5^e^ de l'étape (ils se font taper au sprint par le coéquipier de Mohoritch qui n'est pourtant pas sprinteur) , alors qu'en roulant avec Pedersen leurs équipiers auraient au pire fait 2^e^ et 3^e^. 👎

Au général, Pedersen est premier avec 13 secondes d'avance sur Mohoritch et 24 secondes sur une quinzaine de coureurs étalés de 24 à 39 secondes. Si ça arrive groupé demain sans cassure, c'est gagné pour Pedersen (pas mathématiquement avec les sprints bonifs, mais bon...), mais par contre s'il y a une crevaison ou autre mésaventure dans le final, la marge n'est pas énorme, alors que les deux auraient pu finir avec 15 secondes d'avance de plus s'ils n'avaient pas joué aux cons dans le dernier kilomètre aujourd'hui.

C'est tout à fait possible, mais en l'absence de temps intermédiaire cette année, on est obligé de s'en remettre à des suppositions. Le coureur Auber que j'ai observé dans la montée (je ne sais plus lequel c'était) m'a fait une impression étrange : il semblait bien plus facile que les concurrents ; ça peut vouloir dire qu'en réalité il n'en mettait pas assez.

although obv well lit

A few personal advices about that:

• no matter what your local laws are, and how you respect them or not, please have at least a rear (red) reflector: while you will immediately notice your front light failing, you probably won't notice that your rear light is dead before a long time;
• bring backups: old, cheap, light lights will do; in case one of your main lights fails, you can always get back home or to a safe place with your backup, even if you have to go significantly slower with those weaker lights;
• a powerful headlight can serve as front light backup, and it is jolly handy when you have to fix something on your bike (change a punctured inner tube for example), which can turn into a nightmare otherwise, considering you only have 2 hands (or when you start dropping stuff in the grass...).

I haven't; however I do shorter night rides in the country (mountain valleys mainly) sometimes (2 hours max).

The problems I noted :

1. I need to be cautious all the time, even with a strong light, when going at or above 30 km/h (18 mph), I discover obstacles very late: we cannot see in the distance or on the side, all the things that we usually register without truly paying attention, effortlessly;
2. despite this and the fact that I ride roads I know by heart, I regularly hit holes and all sorts of other road defects that I would almost never hit in day time; small (but dangerous) things like a spray (?) of gravels over the asphalt basically never can be spotted;
3. talking about obstacles, some of them literally jump at you: I meet a lot more animals at night that at day time; a few of them freeze in the light right in front of you (fox cubs, I am thinking of you);
4. I found maintaining the constant attention very tiring for the eyes and the brain: despite the lack of sun, I get that feeling of sore eyes / face skin quickly (it seems to get less true with experience repetition, though, but perhaps it is just because my level of attention decreased too);
5. it also tends to give me a stiff neck because said attention is always directed forwards : when speeding a bit, a glimpse down at your stuff (bike computer, bottle, gears, etc.) means missing a whole frame of potential danger, and of course there is almost no landscape to look at on the sides because well, outside of the small area I light, everything is dark; on top of that, since I discover obstacles late, as soon as the roads goes a little bit downwards, I tend to stay with my hands on the lower bar (road bike) to be able to break or better handle the bike if I need quick reaction; so, all together, my neck is always bent 'backwards' to look forward; in that respect, I reckon it would be easier to use a bike that is not a road bike, the position would be more upright and watching forwards would be more natural;
6. one last thing: city (or village) street lights are fine for a pedestrian, but when riding a bicycle, I found them terrible, it gives the same lighting atmosphere as this type of twilight when you can't see anything clearly (I don't know how to say in English, we say 'between dog and wolf' to describe that confusing kind of crepuscular light where there is still a bit of light, but you can't tell a thing from another) but with extra lighting irregularity on top of it, while rendering your bike light useless.

Overall, my personal experience is quite opposite to the experiences I had read before: not so much peace and relaxation for me. Except when going up, when my speed is low, but then this is switching to another kind of suffering :-D

PS: ah, and there is also the question of clothing. I found it rather difficult to judge what to wear when leaving home; the cold of the night (and the temperatures which will probably drop as time goes) versus the heat of the effort. On the other hand, I only practice leisure cycling, which means that before I started riding a bit at night, I could almost always pick the day and generally the time of my rides, so that they were all sunny and dry and warm(ish) or hot, and I would typically go with a just a jersey (simply adding a vest for the morning start of 10-12 hours rides); someone who commutes or trains for competition is already used to plan for riding in shitty and changing weather & temperature conditions.

1. Hyperloop TT n'a rien à voir avec Musk. Il y a plusieurs boîtes qui se sont montées en parallèle. Musk, c'est juste une impulsion sur le concept de départ.

2. Ces start-ups n'ont pas été dupées, ce sont au-contraire elles qui ont dupé quelques investisseurs et les élus locaux qui sont des couillons. C'est quasiment le principe des start-ups, de pipeauter pour obtenir du gros pognon, de le dépenser, et ensuite généralement de fermer, ou de tenter de «pivoter» pour attirer à nouveau une autre masse de pognon. Dans quelques cas rares, une fois le pognon cramé, il y a quelque chose de produit au bout, sinon non.

3. Les élus locaux sont des couillons. Des couillons avec beaucoup de pouvoir et la possibilité de puiser presque infiniment du pognon dans les poches des contribuables et des entreprises locaux. Le projet toulousain, voué à l'échec, puait du cul à 10 km dès sa pré-annonce. Mais ça fait de la com' et ce n'est pas leur pognon, donc il suffit de leur faire miroiter un truc un peu «tech» devant et ils n'écoutent plus rien d'autre ; encore moins quand tu leur parles d'infrastructure de transport (ah , la ligne hyperloop Toulouse--Montpellier qui faisait mouiller Delga (et son énième avatar de «Silicon Valley française»), rire). Les années précédentes, c'était un studio de cinéma qui était annoncé au même endroit (sans aucun écosystème local pré-existant)... «Hollywood sur Garonne», sans déconner. Toujours du clinquant pour appâter les élus (qui sont des couillons, l'ai-je déjà dit ?).

À propos de changements rapides :

J'ai beaucoup aimé le préfet qui hier, afin d'illustrer que la rumeur disant qu'ils allaient peut-être couper les réseaux était de la désinformation, disait en substance que « ça ne faisait pas partie des options retenues aujourd'hui »

Autrement dit, la rumeur a fuité trop tôt, pour le moment on peut encore s'en sortir en disant que ce n'est pas le cas : techniquement on ne ment pas ; et on laisse la porte ouverte pour dire et faire l'inverse un peu plus tard.