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Notre mensuel #AlternativeLibertaire de mai (n°360) est toujours disponible :

Mort du Pape, Corruption de l’Etat, Repression et «guerre à la drogue», Antimilitarisme, Vie de la fédération, VSS et Inceste, Mois des fiertés 2025, etc.

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L' #UnionCommunisteLibertaire 37 était à la fois à la manif #PourGaza cette AM à #Tours mais aussi à la Pride à #Blois aux côtés du NPA, de l'OST, de la CGT et de la FSU suivi par un cortège plus festif. Rdv le #7juin au château de Tours à partir de 12h30 ! #TransRightsAreHumanRights

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L' #UnionCommunisteLibertaire 37 était à la fois à la manif #PourGaza cette AM à #Tours mais aussi à la Pride à #Blois aux côtés du NPA, de l'OST, de la CGT et de la FSU suivi par un cortège plus festif. Rdv le #7juin au château de Tours à partir de 12h30 ! #TransRightsAreHumanRights

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https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Palestine-77-ans-de-Nakba-18-mois-de-genocide

Alors que depuis plusieurs semaines Israël a renforcé son blocus à Gaza et son utilisation de la famine à des fins génocidaires, alors que les bombes continuent de pleuvoir, Netanyahou a annoncé lundi dernier vouloir « prendre le contrôle » de la zone. Il a lancé dimanche 18 mai une vaste opération au sol sous le nom « Chariot de Gédéon », offensive ultime pour vider Gaza de toute vie palestinienne.

Alors que depuis plusieurs semaines Israël a renforcé son blocus à Gaza et son utilisation de la famine à des fins génocidaires, alors que les bombes continuent de pleuvoir, Netanyahou a annoncé lundi dernier vouloir « prendre le contrôle » de la zone. Il a lancé dimanche 18 mai une vaste opération au sol sous le nom « Chariot de Gédéon », offensive ultime pour vider Gaza de toute vie palestinienne.

Depuis des mois, la guerre génocidaire que mêne Israël sur le territoire Palestinien de Gaza, couplée à son offensive coloniale en Cisjordanie, n’a rencontré aucune réelle protestation des grandes puissances impérialistes. S’alarmant récemment en façade contre l’utilisation de la famine, qui dure en réalité depuis bien longtemps, les gouvernements occidentaux ont tous participé de manières directe et indirecte à soutenir ce génocide par la vente d’armes, le "soutien inconditionnel" diplomatique et politique, ou le refus d’appliquer les mandats d’arrêt de la Cour Pénale Internationale. Ils devront en répondre devant l’histoire.

La France n’est pas en reste : ventes d’armes massives de Thalès à Israël, dissolution d’Urgence Palestine demandée par le ministre de l’intérieur, criminalisation du soutien au peuple palestinien, acharnement juridique et policier contre les organisations engagées dans celui-ci, maintien en prison de George Abdallah et, dernièrement incapacité honteuse de Macron à prononcer le terme de "génocide" pendant son défilé médiatique du 13 mai... La présence d’Israël et de ses entreprises d’armement au salon du Bourget du 16 au 22 juin prochain montre que le changement de discours apparent de la France n’est que de la poudre aux yeux : Macron a beau parler de "drame humanitaire" à Gaza, les mots ne sont suivis d’aucun acte à même d’entraver le génocide.

Alors que nous commémorions le 15 mai les 77 ans de la Nakba, expulsion de 700 000 à 800 000 Palestinien⸱nes par l’État sioniste suite à un nettoyage ethnique planifié, la catastrophe n’a jamais pris fin. Le génocide en cours à Gaza, et le plan de déportation mis en oeuvre par l’État d’Israël, est une nouvelle étape des crimes du sionisme. L’urgence n’est pas seulement à un cessez-le-feu : elle est à un véritable processus de décolonisation, qui mette fin, une fois pour toutes, à la longue Nakba du peuple Palestinien.

Notre rôle, depuis la France, est de lutter sans relâche contre la complicité de notre propre impérialisme, et pour un isolement politique et diplomatique d’Israël. La lutte contre l’armement apparaît comme un front prioritaire, que nous appelons à renforcer en investissant toutes les actions de la campagne Stop Arming Israël et de la campagne BDS, et plus généralement toutes les initiatives de solidarité avec le peuple Palestinien.

La Palestine vivra, la Palestine vaincra !

Union communiste libertaire, le 20 mai 2025

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17h à Paris (jlai.lu)
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Rassemblement unitaire à 17h à #Paris pl. de Narvik contre #ELNET, le lobby progénocidaire ! #UrgencePalestine #StopGenocide #FreePalestine

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Retrouvez l' #UnionCommunisteLibertaire à la manif du collectif Colère contre les Centres de Rétention Admnistratifs (CRA) au Miroir d'eau à #Nantes à 15h : liberté de circulation, liberté d'installation, de l'air, de l'air, ouvrez les frontières ! Ni patrie, ni patron, union, action, autogestion !

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Communiqué #UnionCommunisteLibertaire

https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Nouvelle-loi-sur-la-fin-de-vie-un-danger-dans-une-societe-validiste-et

Nouvelle loi sur la fin de vie : un danger dans une société validiste et capitaliste

Le 12 mai, les débats sur la « proposition de loi relative au droit à l’aide à mourir » ont été entamés à l’Assemblée nationale, relançant un processus législatif suspendu depuis la dissolution parlementaire de l’an dernier. Ce projet de loi — tant attendu par la gauche institutionnelle et par Macron en quête d’un vernis progressiste — est critiqué par toutes les organisations de lutte antivalidiste par son caractère validiste et ses potentielles dérives eugénistes. Il sera soumis au vote le 27 mai à l’Assemblée, mais ne semble inquiéter personne.

Ce projet de loi, censé prolonger les lois Claeys-Leonetti, en trahit l’esprit. Celles-ci permettent aux patientes et patients subissant des douleurs réfractaires aux traitements et dont le pronostic vital est engagé à court terme de recourir à la sédation profonde et continue jusqu’au décès. Elles encadrent également les possibilités de prise de décision quand la personne concernée n’est plus elle-même en capacité d’exprimer sa volonté, via les directives anticipées et la désignation d’une personne de confiance. Les promoteurs du nouveau projet de loi laissent croire que les personnes en fin de vie sont actuellement condamnées à souffrir dans l’attente de la mort, niant l’existence de ces dispositifs existants.

Une dérive libérale

Cette loi est vendue comme un progrès inéluctable, une avancée de l’autonomie individuelle : « Mon corps, mon choix ». Mais dans une société inégalitaire, cette autonomie et liberté de choix sont illusoires et omettent les conditions matérielles d’existence des personnes qui auraient recours à ce « choix ». Une frange de l’opinion publique s’oppose de longue date à la légalisation de l’euthanasie au nom de principes moraux, conservateurs, religieux, dans la défense d’une vision sacralisée de la vie. Les mouvements antivalidistes se sont aussi emparés de la critique des conséquences de cette légalisation, mais sur la base d’une analyse de notre société matérialiste et anticapitaliste. Le collectif Jusqu’au bout solidaires dit dans son manifeste « Comment peut-on justifier de permettre aux personnes fragiles de mourir, alors qu’elles ne reçoivent pas l’aide nécessaire pour vivre dans la dignité ? L’euthanasie n’est pas une réponse à la souffrance, mais un aveu d’échec de notre société à protéger les personnes les plus démunies ».

Partout où l’on a légalisé l’« aide à mourir », les critères d’éligibilité se sont rapidement étendus : personnes handicapées, psychiatrisées, âgées, enfants en Belgique… Au Canada, on discute de reconnaître la pauvreté comme raison pour accéder à l’euthanasie. Cette loi envoie un message clair à des personnes vulnérables : leur vie coûte « trop cher » et est « trop lourde » à porter pour la société. Quelle « liberté » y a-t-il à accepter une euthanasie quand les services publics sont démantelés, les lois mal connues et mal appliquées, les souffrances parfois mal soulagées par manque d’accès à des soins adaptés, quand les soignants sont à bout de souffle et en manque de formation aux soins palliatifs ?

Ce choix prétendument libre se heurte à la réalité des inégalités sociales et impacte différemment les groupes sociaux opprimés. Les groupes sociaux sur-représentés dans les statistiques de comportements suicidaires (femmes, personnes trans) seront aussi les plus susceptibles de recourir à l’euthanasie, sans que l’on ne travaille sur les déterminants de fond (isolement, violences, discriminations…). Ainsi, dans une société qui éduque les femmes au sacrifice de soi au profit des autres, l’injonction à ne pas prendre trop de place peut trouver son incarnation ultime dans une demande d’euthanasie pour ne pas trop peser sur les autres.

Capitalisme en crise et fascisation de la société

Dans ce projet de loi, l’« aide à mourir » – terme euphémisant – pourra être administrée dans les EHPAD, les centres médico-sociaux, les unités psychiatriques, voire les prisons. Alors que l’on connaît les taux de maltraitance dans les établissements de soin, qui doivent fonctionner avec toujours moins de moyens. Plutôt que de renforcer les moyens des établissements de soin et construire un accès à une vie digne, l’euthanasie peut alors constituer la porte de sortie face à l’enfermement et à l’isolement social. La crise du capitalisme, aggravée par des politiques d’austérité, de privatisation et de militarisation, peut faire de l’« aide à mourir » un outil de gestion sociale pour les capitalistes, qui y voient un moyen de réduire les coûts et d’éliminer les « charges » humaines.

Notre boussole est notre analyse matérialiste des rapports sociaux, ne nous leurrons pas derrière des mots d’ordre idéalistes et prétendument progressistes : dans une société toujours plus inégalitaire, la priorité n’est pas de légiférer pour précipiter la fin de vie mais de lutter pour des conditions de vie dignes pour tous et toutes, notamment via l’accès à des soins de qualité et à un accompagnement qui apaisent les souffrances. Pour une société inclusive et égalitaire. Il ne peut y avoir de « mort digne » sans permettre d’abord une vie digne.

Union communiste libertaire, le 13 mai 2025

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Rdv demain 18h devant le théâtre de #Tours à l'appel d'une 50aine d'organisations dont l' #UnionCommunisteLibertaire 37 !

Le milliardaire Stérin veut privatiser le Bien Commun ? Siamo tutti anti Stérin, non à la nuit du " bien commun "

#antifa

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Un millier de manifestant·es pour le #1ermai sous un soleil de plomb à #Tours au point que nous avons déplacé notre table de presse à l'ombre.

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Rdv dès 10h pl. de la Liberté à #Tours pour le cortège de l' #UnionCommunisteLibertaire 37 puis sur notre table de presse à la fin de la manif' pl. A. France.

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La flambée des prix du logement depuis les années 2000 entraîne son inaccessibilité pour une partie de plus en plus importante de la population et conduit à une augmentation importante du nombre de mal-logés et de sans-abris. Les institutions n’apportant pas de solutions satisfaisantes et l’État ne faisant pas appliquer ses propres lois (réquisition, SRU, droit au logement opposable ( #DALO), encadrement des loyers), les difficultés sociales liées au mal-logement et au sans-abrisme ne cessent d’augmenter. Face à ce constat, a été ouverte la Maison Internationale Populaire, bâtiment jusqu’alors inoccupé et salubre dans les ex casernes Beaumont, afin que des familles et des personnes seules puissent accéder à un logement digne. L’ #UnionCommunisteLibertaire 37 soutient pleinement cette initiative.

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ucl37

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