Seulement 4 WT et les plus grands sprinteurs pourraient être Girmay (🇪🇷 Intermarché), Fretin (🇧🇪 Cofidis) et Theuns (🇧🇪 Lidl-Trek) qui a déjà remporté une victoire le mois dernier en Belgique. Alpecin sera là mais pas avec les leaders qui ont fait Paris–Roubaix.
Et c'est Fretin (🇧🇪 Cofidis) qui s'impose !
Girmay s'était montré auparavant, en suivant à plusieurs reprises les multiples attaques des Alpecin. Malgré toutes ces attaques, Alpecin a quand même réussi à garder un coureur pour le sprint : Dehairs🇧🇪 fait deuxième ; alors qu'Intermarché n'avait que Girmay qui n'avait plus rien dans les jambes (17^e^).
Bonne 4^e^ place de Pierre Barbier🇫🇷 de Wagner-Bazin, équipe qui marque rarement.
Florian Dauphin (🇫🇷 Total), premier Français de Paris–Roubaix il y a 3 jours, fait encore 6^e^.
Les coureurs n'ont pas arrêté de rouler sur les trottoirs dans les derniers kilomètres. Au point que certains sont passés du mauvais côté des barrières à l'endroit où elles commencent à encadrer le final, et ont causé une vilaine chute.
Au jeu des points UCI :
- Cofidis rafle évidemment la mise avec la victoire de Fretin🇧🇪 : 125 points ;
- Total marque 40 points grâce à Dauphin🇫🇷 ;
- grise mine pour Intermarché qui n'a que les 3 points de Girmay🇪🇷.
Notons qu'aucune de ces équipes ne place plus d'un coureur dans les points, alors que Kern Pharma ou la Conti de Soudal en placent 3 chacune. C'était vraiment tout pour un seul homme chez les «grosses» équipes du plateau. Ça a marché pour Cofidis mais pas du tout pour Intermarché, et moyennement pour Total : on peut marquer plus en finissant plus loin mais à plusieurs.
Pas d'Arkéa, de FDJ, d'Astana, etc. sur la course.